Une petite corvée de pensée
Une journée ensoleillée. Assis dans mon bureau, j´entends les bruits des claviers de l´ordinateur de ma fiancée, Kerstin, qui travaille à côté. Je me demande à quoi sera fait le reste du jour. Pour l´instant je savoure les informations que je lis à travers internet. Bientôt, je me mettrais à travailler dans mon roman, celui que je suis en train d´écrire.
Mais pour l´instant, prenant une petite pause, je laisse divaguer mes pensées et me bute parfois contre quelques écueils dans mes pensées, une façon de nommer ces genres de pensées qui vous tenaillent l´estomac plus qu´elles ne vous viennent en aide pour résoudre des énigmes ou vous font avancer sur un sujet intéressant.
Depuis quelques mois j´ai envoyé un manuscrit aux Editions Actes Sud. C´est le premier d´une trilogie dont le titre est « La possibilité d´une vie ». Certes, le livre est assez volumineux, quelque chose comme trois cent pages, ce qui pourrait décourager un éditeur, mais je ne doute pas qu´il ne soit bien écrit.
L´attente. C´est là où je voudrais en venir. C´est quelque chose de difficile à supporter. Depuis des mois je me demande qu´en sera-t-il de ce livre, son destin, ce qu´il deviendrait.
Encore ce matin, l´idée est venue se graver dans mes pensées, dans mon esprit.
A chaque fois que cela remonte à la mémoire, je me sens envahi par une angoisse dont les effets les visibles sont, peut-être, cette tristesse que je devine sur mon visage.
Je me dis souvent que le livre ne sera pas accepté. Ce ne sera pas la première fois que l´on me refuse un livre dans tous les cas. Je connais bien ces aventures-là.
Néanmoins, cette fois-ci, il y´a quelque chose qui me dit que si ce livre est refusé ce ne serait pas parce qu´il est mal écrit. Il se peut que mon style ne soit pas assez compris, il se peut que la manière dont le livre est écrit ne soit pas assez compris pour convaincre, il se peut que tout ça dont j´ai voulu l´investir pour écrire autrement, d´une autre manière, fasse peur à un éditeur pour qu´il accepte de lancer un écrivain comme je l´aspire.
Mais je continue d´avoir de l´espoir après tout. On ne sait jamais avec les livres comme avec la vie.
Mais pour l´instant, prenant une petite pause, je laisse divaguer mes pensées et me bute parfois contre quelques écueils dans mes pensées, une façon de nommer ces genres de pensées qui vous tenaillent l´estomac plus qu´elles ne vous viennent en aide pour résoudre des énigmes ou vous font avancer sur un sujet intéressant.
Depuis quelques mois j´ai envoyé un manuscrit aux Editions Actes Sud. C´est le premier d´une trilogie dont le titre est « La possibilité d´une vie ». Certes, le livre est assez volumineux, quelque chose comme trois cent pages, ce qui pourrait décourager un éditeur, mais je ne doute pas qu´il ne soit bien écrit.
L´attente. C´est là où je voudrais en venir. C´est quelque chose de difficile à supporter. Depuis des mois je me demande qu´en sera-t-il de ce livre, son destin, ce qu´il deviendrait.
Encore ce matin, l´idée est venue se graver dans mes pensées, dans mon esprit.
A chaque fois que cela remonte à la mémoire, je me sens envahi par une angoisse dont les effets les visibles sont, peut-être, cette tristesse que je devine sur mon visage.
Je me dis souvent que le livre ne sera pas accepté. Ce ne sera pas la première fois que l´on me refuse un livre dans tous les cas. Je connais bien ces aventures-là.
Néanmoins, cette fois-ci, il y´a quelque chose qui me dit que si ce livre est refusé ce ne serait pas parce qu´il est mal écrit. Il se peut que mon style ne soit pas assez compris, il se peut que la manière dont le livre est écrit ne soit pas assez compris pour convaincre, il se peut que tout ça dont j´ai voulu l´investir pour écrire autrement, d´une autre manière, fasse peur à un éditeur pour qu´il accepte de lancer un écrivain comme je l´aspire.
Mais je continue d´avoir de l´espoir après tout. On ne sait jamais avec les livres comme avec la vie.
1 Comments:
Y si las palabras hubieran llegado a nosotros con su propio bagaje, dejando tras de sí su propio rastro.
Y si solo alguno de nosotros pudieramos ver esa estela oculta tras ellas, para al mezclarlas, entretegerlas magicamente.
Y si fueran ellas las que nos buscan y las que nos confian toda su sabiduria..
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